Mort du gendarme Myriam Sakhri : la thèse du suicide remis en cause
L'actualité des faits-divers
27/04/2012

Mort du gendarme Myriam Sakhri : la thèse du suicide remis en cause


  • PARTAGES

Dans le cadre de l'enquête sur la mort de Myriam Sakhri, un nouvel élément vient mettre en cause l'hypothèse du suicide.

Le corps sans vie de cette gendarme de 32 ans avait été découvert le 23 septembre dernier, dans son appartement de fonction de la caserne Delfosse, à Lyon. Elle était morte d'une balle en pleine poitrine.

L'enquête a d'abord conclu au suicide et l'affaire a été classée.

Sauf que, le week-end dernier, les proches de la victime, en déménageant son logement de fonction, sur la demande expresse de la caserne, ont trouvé une douille de 9 mm derrière le canapé.

De plus, Myriam Sahkhri était en conflit avec sa hiérarchie et s'était senti menacé, juste avant les faits. Elle comptait même porter plainte pour remarques racistes et harcèlement moral.

Selon son beau-frère, elle n'était pas déprimée et venait de réussir le concours pour devenir officier de police.

Selon les gendarmes, c'est la police scientifique qui aurait oublié une douille lors des tests de sonorité de tirs dans l'appartement de la victime.

La famille de la victime devrait se constituer partie civile.



A PROPOS Contact Mentions Légales Publicités
RESEAUX SOCIAUX Facebook Twitter
COPYRIGHT © 2009-2016 - FAITSDIVERS.ORG - TOUS DROITS RESERVES